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De l’éleveur de poules autodidacte au Service Manager

Article de blog

Voulez-vous nous parler un peu de vous et de comment vous avez commencé ici ?

Je suis Lander, Service Manager en Flandre-Orientale. J’ai étudié le travail social et ce qui m’a le plus intéressé, c’était surtout la psychologie, la compréhension des gens. Après la première année, les matières que je trouvais les plus sympas ont soudainement disparu. J’ai donc décidé de commencer un autre cursus, mais celui-ci ne débutait qu’en septembre, alors j’ai cherché un emploi temporaire.

C’est ainsi que, par l’intermédiaire de mon frère, j’ai commencé à travailler dans une entreprise avicole, en tant qu’homme à tout faire. Après un certain temps, mon patron m’a demandé si je ne voulais pas carrément y vivre. Ensuite, j’ai commencé à plein temps et suivi diverses formations : mécanique, électricité, gestion d’entreprise… J’y ai occupé toutes sortes de fonctions pendant huit ans, mais lorsque j’ai dû déménager, j’ai été contraint de chercher un autre travail. C’est alors que je me suis posé la question : qu’est-ce que je veux vraiment ?

En ligne, j’ai vu passer une offre d’emploi pour Field Technician. J’ai visité le site web et j’ai appelé jusqu’à quatre fois ma collègue RH, Nadine, pour lui dire que je souhaitais vraiment venir à un entretien. Finalement, j’ai rencontré Els et Filip, et tout s’est bien passé. Grâce à mes connaissances sur les nuisibles dans le secteur avicole, j’avais un petit avantage lors de l’entretien.

Depuis, vous êtes devenu Service Manager ?

Exactement. J’ai été Field Technician pendant un an, et grâce à ma motivation, j’ai rapidement évolué vers le poste de Service Manager. Ce qui était alors une petite équipe compte aujourd’hui plus de 10 collaborateurs. Je combine désormais gestion d’équipe, administration et travail technique opérationnel.

Je reste intéressé par ce qu’il faut faire… mais aussi par ce qu’il ne faut pas faire. On croise en effet pas mal de « visiteurs égarés » que l’on étiquette comme nuisibles, mais qui, en réalité, entrent par accident et ne causent aucun problème. Notre travail est de faire la distinction.

Comment s’est passée cette transition ?

Très bien. J’ai défini un certain nombre de valeurs que je voulais incarner avec mon équipe et mis en place des règles claires. Cette idée m’est venue grâce à mon parcours de coaching avec Intentive. Des fondements similaires ont d’ailleurs été adoptés par la suite dans toute la branche : respect du client, des collègues et du matériel. Qualité et communication honnête sur les succès comme sur les erreurs. Tout le monde se retrouve dans ces valeurs.

De cette manière, mes coéquipiers et moi pouvons partager nos avis et je reste simplement moi-même, un collègue. Si les règles sont enfreintes, je « change de casquette » pour faire comprendre que ce qui se passe n’est pas acceptable. Cela permet à chacun de savoir ce qui est attendu. De bonnes règles font de bons amis.

Y a-t-il encore des aspects que vous trouvez difficiles ?

Oui, les entretiens d’embauche ! Il est difficile de se faire une image complète d’une personne en seulement une heure. Et l’entretien a aussi un impact sur la personne en face : stress, timidité, trous de mémoire… Cela complique l’évaluation. Il m’est parfois arrivé de penser « je ne le sens pas trop » et d’être bluffé par la suite. Ou l’inverse.

Pour moi, ce qui compte le plus, c’est qu’un collègue soit motivé et passionné. La volonté d’apprendre : tout peut s’apprendre, et notre collègue Learning & Development, Lise, s’en assure ! Les caractères complémentaires ne sont pas ma priorité. Mais si, plus tard, la personne complète l’équipe, c’est encore mieux.

Actuellement, j’ai dans mon équipe à la fois des hommes et des femmes ; cette dynamique change la vie de l’équipe. C’est un enrichissement de voir cette ambiance évoluer. Chacun apporte ses forces, et c’est ce qui rend l’équipe belle.

Avez-vous un conseil pour ceux qui hésitent à entrer dans ce secteur ?

Les gens ont souvent une vision très traditionnelle de la lutte antiparasitaire. Ils ne voient pas encore à quel point notre entreprise est innovante et digitalisée, et à quel point cela est intéressant. Nous ne venons pas simplement pour capturer des nuisibles.

Notre focus est la prévention, et c’est tout l’esprit de l’Integrated Pest Management. Une fois qu’ils comprennent cela, un nouveau monde s’ouvre à eux et le métier devient soudain beaucoup plus attrayant !

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